Les stress hydriques prolongés et à répétition atteignent autant les plantes que les micro-organismes qui constituent la biomasse vivante des sols. Cependant, à mesure que les sécheresses s’accumulent, toujours plus proches les unes des autres, plantes et microbes ne répondent pas à la même vitesse. Et d’après Steven Allison, écologue de l’université d’Irvine en Californie, ce déséquilibre pourrait jouer en défaveur du climat.
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Sécheresse : l’adaptation plus rapide de certains microbes n’est pas une bonne nouvelle pour le climat (actu-environnement.com)